Norvège 7 - Un spectre hanté le monde, le spectre de la Lybie orientale.

 

Un spectre hanté le monde, le spectre de la Lybie orientale.

Retour sur la campagne d'Italie qui a vu la moitié de l'armée lybienne disparaître.

Depuis longtemps les peuples du monde voyait l'attitude agressive de la Lybie orientale tentant de conquérir l'Europe.

La société des nations et des peuples composé entre autres de la Norvège, la Lithuanie et la Russie du Nord ont demandé à notre coalition de mettre fin à ces attaques.

Pourtant la tâche n'était pas facile.

La coalition des trois pays possédait ensemble moins de 600 divisions alors que la Lybie orientale en avait plus de 900 et que 500 divisions (500.000 hommes) était concentre au nord de l'Italie préparant dans aucun doute l'attaque futur de nos pays.

Mais l'histoire n'allait pas s'écrire ainsi

Profitant de la nuit et d'un veille accord de libre passage, les troupes norvégienne, passèrent en douce les frontières et longerent les grosses concentrations de troupes lybienne. Juste après être passé, l'Italie était vide sans aucune garnison nulle part. 

Les éléments motorisés descendirent jusqu'au sud de l'Italie et prirent tout la péninsule. Bloquant de facto la capacité de ramener des renforts

La lybie fit sa première erreur

Mais il restait ces 500.000 hommes enfermé dans nos frontières pouvant rétablir facilement la situation de la Lybie. Il aurait suffit de maintenir une partie de ses troupes sur place pour empêcher les mouvements de nous troupes et de dégager 100 à 150 unités pour reprendre calmement l'Italie.

Au lieu de cela elle tenta de reprendre la ville de Milan, puis Gêne, puis de nouveau Milan puis Gêne à nouveau. Usant ses troupes contre de puissantes forteresse fortement équipé 

Car c'est la deuxième erreur, de la Lybie, c'est d'avoir laisser des forteresses sans troupes puis d'avoir voulu les récupérer à n'importe quel prix

Quand les troupes Lybienne situé en Italie du Nord passèrent de 500 à 250 division, sans avoir réussi à se maintenir à Gènes ou Milan, il ne restait plus qu'aux troupes Lithuaniens (200 division) et Norvégienne (150 division) de foncer sur les forces restantes avec un moral assez bas. 

Et c'est ainsi que l'Europe fut libéré

 

 

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