Norvège 5 - Du Raid sur Berlin à la prise de Bruxelles : Récit
#article : Du Raid sur Berlin à la prise de Bruxelles : Récit
Norvège: Communiqué officiel du gouvernement , 06:49
Rencontre avec le lieutenant dirigeant 17e régiment de cavalerie de Norvège : Skoll Afenstruud
Lieutenant vous venez d'être rapatrié des Pays-Bas suite à une blessure. Première question comment vous portez-vous ?
Ca
va! merci. Je me rétablis lentement mais sûrement. Je ne garderai pas
de séquelles et j'espère bientôt pouvoir retourner au combat avec mes
camarades.
Maintenant pouvez-vous m'expliquer le lecteur comment s'est passé la campagne d'Allemagne.
Et
bien je fais parti quelle équipe qui a fait le raid sur Berlin. Nous
avons été stationneé sur un bateau plusieurs semaines avant le conflit
au large des côtes allemandes. Le pouvoir allemand avait laissé la route
vide vers sa capitale.
Lorsque la guerre a été déclaré, nous
avons reçu l'ordre de débarquer sur une plage complément vide. Puis nous
avons foncé vite sur Berlin où seul un régiment de jeunes conscrit
était présent.
Mais les combats ont été assez sporadiques et nous avons pris facilement le contrôle de la ville.
Le moral des troupes allemandes étaient assez bas alors je suppose.
Bien sûr la perte de leur capitale, a du leur faire un choc. Mais ils se sont battu comme des lions au début.
A
Berlin, nous avons été réjoins par des camarades qui ont vécu la
bataille de Dantzig. Là nos troupes ont vraiment eu peur de perdre.
Heureusement que les lithuaniens nous ont prêté mains forte.
Mais
ensuite nous avons du partir pour Hanovre qui a été la dernière grosse
bataille de la guerre pour nos troupes. Le conflit a été terrible. Les
troupes étaient caché dans plusieurs partie de la ville. Mon régiment
c'est retrouvé à devoir se battre dans le port. C'est la que j'ai tué
mon premier allemand, je m'en souviendrai toute ma vie.
Un
groupe d'allemand s'était réfugié sur des grands bateaux et nous lançais
des grenades. Comme nous n'avions pas de matériel lourd, nous avons du
rentrer dans les coursives. C'était un bateau gigantesque style Titanic
mais plus spécialisé dans le fret. J'ai du descendre de mon cheval,
laisser ma lance et combattre au couteau et au fusil dans les calles du
navire. J'ai vraiment eu peur pour ma vie.
Pour
finir, je suis ressortit et nous avons réussi à trouver des charges
industrielles et à détruire le navire. Le GQG n'était pas content car la
rade du port était bloqué mais nous ne voulions pas perdre plus
d'hommes.
Et c'est la que vous avez été blessé ?
Même pas.
La
suite de la guerre a été une promenade de santé. Partout les soldats se
rendaient : La Haye, Anvers et Bruxelles étaient des territoires
nouvellement acquis par Allemagne. Il n'allait pas se faire tuer pour
ces territoires. Et puis les populations nous accueillait avec
gentillesse. Notre armée a bonne réputation je pense.
Et comment avez vous été blessé.
A
Bruxelles, il restait une brigade blindé allemande; elle a tiré sur
nous à la mitrailleuse lourde et j'ai été blessé. Ça ne servait à rien
d'ailleurs, ils ont du se rendre un peu après, elle n'avait plus
d'essence
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